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Demande d’autorisation d’absence stage syndical

Nom : Prénom :

Fonction et poste :

Ecole :

A Monsieur l’Inspecteur d’Académie/le Recteur

Directeur Académique des Services de l’Education Nationale,

S/c l’IEN de la circonscription/Principal/Proviseur

Monsieur l’Inspecteur Académique Directeur Académique des Services de l’Education Nationale/ le Recteur,

Conformément aux dispositions de la loi n°84/16 du 11/01/1984 (art.34 alinéa 7), portant statut général des fonctionnaires définissant l’attribution des congés pour la formation syndicale, avec maintien intégral du salaire, j’ai l’honneur de solliciter un congé le mardi 14 mars 2023 pour participer à un stage de formation syndicale. Ce stage se déroulera de 9h à 16h à Saint-Etienne. Il est organisé par la section départementale du SNUDI FO 42 de la Loire.

A…………….…, le……………

Signature

COURRIER AUX PARENTS GREVE DU 25 JANVIER 2024

Chers parents d’élèves,

 

Nous souhaitons par ce courrier vous informer de la raison pour laquelle nous serons en grève ce jeudi 25 janvier.

 

Nous serons en grève pour défendre le droit des élèves en situation de handicap et/ou en difficulté de bénéficier des conditions d’apprentissage adaptées à leur situation et pour défendre nos conditions de travail.

 

L’ex-ministre Attal a été contraint de le reconnaître : 23 000 élèves en situation de handicap ne bénéficient pas dans notre pays de places dans des établissements spécialisés alors qu’ils bénéficient pourtant d’une notification de la maison départementale des personnes handicapées (MDPH) en ce sens. Des dizaines de milliers d’autres n’ont pas de place en ULIS (unités localisées pour l’inclusion scolaire), SEGPA (sections d’enseignement général et professionnel adapté), ou services de soin…

 

Voyant leurs droits bafoués, ces élèves sont scolarisés dans des classes dites « ordinaires » ce qui les place dans les plus grandes difficultés et parfois dans les plus grandes souffrances. Certains sont accompagnés par des AESH (accompagnants d’élèves en situation de  handicap), personnels maintenus dans la précarité et sous le seuil de pauvreté, mais beaucoup n’ont pas les heures d’accompagnement qui seraient nécessaires, voire pas d’accompagnement du tout.

 

Cette situation a malheureusement des conséquences sur les conditions de travail des personnels, qu’ils soient enseignants ou AESH, et qui se retrouvent confrontés à des situations ingérables. Celles-ci peuvent aboutir, trop souvent, à des mises en danger de tous les élèves et adultes des classes concernées qui deviennent de plus en plus nombreuses…

 

Nous n’acceptons pas ces économies réalisées sur le dos des élèves les plus fragiles.

 

Et le président Macron compte aller plus loin en annonçant dissoudre les instituts médico-éducatifs (IME),  les instituts thérapeutiques éducatifs et pédagogiques (ITEP)… dans les établissements scolaires et en retirant aux MDPH la prescription des modalités d’accompagnements des élèves en situation de handicap.

 

Aussi, nous serons en grève jeudi 25 janvier pour exiger :

  • La défense de l’enseignement spécialisé et adapté,
  • Le maintien et la création des places nécessaires dans les établissements sociaux et médico-sociaux,
  • Un statut de fonctionnaire et un vrai salaire pour les AESH
  • Le retrait de l’acte 2 de l’Ecole inclusive qui prévoir la dissolution des établissements spécialisés

 

Au vu de l’urgence de la situation, nous irons manifester à Paris, devant le ministère de l’Education nationale : une délégation a demandé à être reçue par la nouvelle ministre Mme Oudéa-Castera.

 

Nous vous tiendrons informés des suites de cette mobilisation et vous remercions de votre compréhesion.

Demande de rétroactivité de la Prime REP pour les AESH Académie de LYON

DEMANDE PREALABLE A COPIER COLLER COMPLETER ET ENVOYER EN  RECOMMANDE AU RECTORAT Elle est à compléter par le collègue AESH/AED et à envoyer avec contrats et avenants au Recteur en recommandé avec accusé de réception. Le Recteur aura 2 mois pour y répondre. Dès retour écrit du Recteur ou à partir de l’expiration du délai, le collègue AESH/AED devra saisir le médiateur du Rectorat par courrier en recommandé avec accusé de réception. Dès la réponse écrite du médiateur de clôture de l’instruction, le collègue AESH/AED devra saisir le Tribunal Administratif : les syndicats départementaux devront alors se rapprocher de la Fédération pour envoi du recours.

Si le juge donnait raison au collègue AESH/AED, cela ne se ferait que sur la base de la prescription quadriennale. Dès lors, si le personnel AESH/AED se lance dans ce recours au cours de l’année 2024, il ne pourra réclamer la prime REP ou REP+ que sur les années 2020, 2021 et 2022.

NOM PRENOM ADRESSE AGENT

RECTORAT DE LYON:  92 Rue de Marseille, 69007 Lyon

À xxxxx, le xxxx 2024

 

Madame, Monsieur le Recteur,

J’ai été recruté en ma qualité de ….. au sein …..

A compter de ma date de recrutement, je n’ai jamais perçu l’indemnité de sujétions prévue par le décret n°2015-1087 du 28 aout 2015 qui prévoit un régime indemnitaire spécifique en faveur des personnels exerçant dans les écoles ou établissements relevant des programmes « Réseau d’éducation prioritaire renforcé » et « Réseau d’éducation prioritaire ».

EN EFFET, je vous rappelle que le décret n° 2015-1087 du 28 août 2015 prévoit un régime indemnitaire spécifique en faveur des personnels exerçant dans les écoles ou établissements relevant des programmes « Réseau d’éducation prioritaire renforcé » et « Réseau d’éducation prioritaire ».

Il dispose, en son article 1er :

« Une indemnité de sujétions est allouée aux personnels enseignants, aux conseillers principaux d’éducation, aux personnels de direction, aux personnels administratifs et techniques, sociaux et de santé, et aux psychologues de l’éducation nationale exerçant dans les écoles ou établissements relevant du programme « Réseau d’éducation prioritaire renforcé », dont la liste est fixée par arrêté du ministre chargé de l’éducation nationale.

Cette indemnité est également allouée aux assistants d’éducation et aux accompagnants des élèves en situation de handicap exerçant dans les mêmes écoles ou établissements.

Cette indemnité comporte une part fixe et une part modulable. »

En outre, l’article 6 dudit décret indique :

« Une indemnité de sujétions est allouée aux personnels enseignants, aux conseillers principaux d’éducation, aux personnels de direction, aux personnels administratifs et techniques, sociaux et de santé et aux psychologues de l’éducation nationale exerçant dans les écoles ou établissements relevant du programme « Réseau d’éducation prioritaire ».

Cette indemnité est également allouée aux assistants d’éducation et aux accompagnants des élèves en situation de handicap exerçant dans les mêmes écoles ou établissements.

La liste des établissements relevant du programme Réseau d’éducation prioritaire est fixée par arrêté du ministre chargé de l’éducation nationale.

La liste des écoles relevant du programme « Réseau d’éducation prioritaire » est arrêtée par les recteurs d’académie.

Les personnels mentionnés au premier alinéa du présent article qui exercent dans les lycées dont la liste est fixée par arrêté du ministre chargé de l’éducation nationale bénéficient de l’indemnité dans les conditions et selon les modalités prévues au présent chapitre. »

 

En outre, l’arrêté du 8 décembre 2022 modifiant l’arrêté du 28 août 2015 est venu fixer les taux annuels en application du décret n° 2015-1087 du 28 août 2015 portant régime indemnitaire spécifique en faveur des personnels exerçant dans les écoles ou établissements relevant des programmes « Réseau d’éducation prioritaire renforcé » et « Réseau d’éducation prioritaire ».

OR, par jugement du TA de PARIS du 14.12.2022, sous le n°2103242, il a été jugé :

« 15. Il suit de là que, au regard de la nature de leurs missions et des conditions d’exercice de leurs fonctions, les accompagnants d’élèves en situation de handicap exerçant leurs fonctions dans des écoles ou établissements relevant des programmes « Réseau d’éducation prioritaire renforcé» et « Réseau d’éducation prioritaire» sont exposés à des sujétions comparables à celles des personnels titulaires et contractuels bénéficiant de l’indemnité de sujétions en application des décrets du 28 août 2015 et du 29 août 2016, notamment des conseillers principaux d’éducation, des personnels de direction, des personnels administratifs et techniques et des psychologues de l’éducation nationale de la spécialité «éducation, développement et apprentissage » et qu’ils participent, ainsi que l’a au demeurant constaté le ministre de l’éducation nationale dans ses circulaires précitées des 3 mai 2017 et 5 juin 2019, non seulement à l’engagement professionnel collectif de ces équipes, mais également aux missions que le législateur a assigné au service public de l’éducation en permettant la scolarisation inclusive des élèves en situation de handicap. Par suite, aucune circonstance n’est de nature à justifier, eu égard à l’objet de l’indemnité instituée par le décret du 28 août 2015, l’exclusion des accompagnants d’élèves en situation de handicap du bénéfice de cette indemnité.

  1. Ainsi, le pouvoir réglementaire, en excluant par les dispositions des articles 1er et 6 du décret du 28 août 2015 les accompagnants d’élèves en situation de handicap des personnels bénéficiant de l’indemnité de sujétions lorsqu’ils exercent dans des écoles ou établissements relevant du programme « Réseaud’éducationprioritaire renforcé» et « Réseau d’éducation prioritaire», a créé une différence de traitement dont il ne ressort pas des pièces du dossier qu’elle serait en rapport avec l’objet de ce texte et a méconnu, ainsi, le principe d’égalité. Dès lors, la décision du recteur de l’académie de Paris rejetant la demande de M. B N’Silu, prise sur le fondement de ces dispositions réglementaires illégales, est elle-même illégale. »

En outre, ledit jugement précise :

« 18. Le présent jugement implique nécessairement que le recteur de l’académie de Paris verse à M. B N’Silu l’indemnité de sujétions qu’il aurait dû percevoir depuis qu’il a été recruté en qualité d’accompagnant d’élèves en situation de handicap et lorsqu’il a été affecté au sein d’établissements relevant du programme « Réseau d’éducation prioritaire renforcé » ou « Réseau d’éducation prioritaire ». Dès lors, il y a lieu d’enjoindre au recteur de l’académie de Paris de procéder au versement de cette indemnité dans un délai de trois mois à compter de la notification du présent jugement. »

OR, de ces dispositions, il appert qu’il a été fait droit à la demande du requérant de lui verser l’indemnité de sujétions depuis son recrutement en tant qu’AESH, lequel est intervenu au titre d’un CDD à compter du 24.02.2020.

DE PLUS FORT, il a été récemment jugé (TA MONTREUIL, 11 mai 2023, n°2112376)

 

EN L’ESPECE, j’ai été recruté le xxxx en ma qualité de ….. au sein …..

Or, depuis la date de mon recrutement, je n’ai jamais perçu la prime REP + alors que je remplissais les conditions pour l’obtenir.

Partant, la responsabilité du xxx  ne saurait être contesté dans le préjudice que j’ai subi du fait du non versement de cette prime.

PAR AILLEURS, j’entends solliciter un préjudice financier et moral tenant au non-versement de la prime REP + depuis mon recrutement.

D’UNE PART, je vous demande de bien vouloir procéder à la régularisation de ma situation, en me versant rétroactivement la prime REP+ que j’aurai dû percevoir depuis mon recrutement.

 

D’AUTRE PART, compte tenu du préjudice moral tenant au non-versement de la prime REP + depuis mon recrutement, je sollicite le versement d’une somme de 600 euros en réparation de mon préjudice moral.

Je vous rappelle que la présente vaut demande préalable susceptible de lier le contentieux.

Je vous informe qu’en cas de refus de votre part, je ne manquerai pas de saisir les juridictions compétentes.

Je reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur le recteur, l’expression de mes sentiments dévoués.

 

 

 

 

MOTION D ECOLE NON AU PACTE EXEMPLE

MOTION D ECOLE

Réunis en conseil des maîtres ce jour, nous souhaitons exprimer par
cette motion notre rejet du « pacte » Macron-Ndiaye et de sa
logique. Le pacte n’est pas une revalorisation salariale. La seule vraie
revalorisation de nos salaires est l’augmentation de la valeur du point
d’indice pour tous.
En refusant d’augmenter nos salaires a minima à hauteur de l’inflation et
en ne nous accordant qu’ 1,5%, le ministre Ndiaye pense
pouvoir imposer son pacte :
– qui divise les collègues entre eux ;
– qui remet en cause notre statut en nous proposant entre autre de faire
des heures de soutien au collège ;
– qui tente de nous faire prendre en charge les missions des enseignants
spécialisés qu’il supprime à tour de bras.
Nous refusons :
– De travailler plus pour perdre un peu moins, alors que notre charge de
travail est déjà conséquente !
– De nous retrouver en concurrence les uns avec les autres
– D’aller travailler au collège avec des élèves de 6ème alors que nous
sommes professeurs des écoles.
Nous opposons au « pacte » nos revendications :
– Une augmentation immédiate de 10% de la valeur du point d’indice :
nous voulons 10% pour tous sans contrepartie comme le président
Macron l’avait annoncé ! Le Président trouve 413 milliards d’euros pour
l’armée, il doit pouvoir trouver de quoi rémunérer correctement les
enseignants français !
– Des créations massives de postes pour alléger les effectifs, assurer les
remplacements, renforcer les RASED et créer les centaines de places
nécessaires qui manquent dans les établissements sociaux et médicosociaux. ■

MOTION D ECOLE CONTRE LA MISE EN PLACE DU PACTE

Proposition de motion (à adapter comme bon vous semble)

Nous , enseignant(e)s de l’école de ………………………….…. à ………………………………

avons pris connaissance du « pacte » Macron-Ndiaye et nous refusons collectivement sa mise en œuvre dans notre école.

Nous refusons :

  • De travailler plus pour perdre un peu moins, alors que notre charge de travail est déjà conséquente !

  • De nous retrouver en concurrence les uns avec les autres !

  • D’aller travailler au collège avec des élèves de 6ème alors que nous sommes professeurs des écoles !

Au contraire nous exigeons :

  • Le retrait du « pacte » Macron-Ndiaye qui ne vise qu’à nous diviser, s’en prendre à notre statut et au fonctionnement de l’Ecole publique !

  • une augmentation immédiate et sans contrepartie de la valeur du point d’indice de 10%, bien supérieure à l’aumône de 1,5% que le gouvernement vient de nous accorder !

  • Des créations de postes dans les écoles, dans les collèges, dans les RASED et dans les établissements sociaux et médico-sociaux pour accueillir les élèves qui en ont besoin !

Rappelons que le « PACTE » n’est en rien une revalorisation, puisqu’il s’agit de missions
individuelles supplémentaires sur la base du volontariat : heures de soutien au collège au mépris du statut, « missions d’innovation pédagogique » et « missions d’accompagnement individualisé » d’élèves à besoin particulier…
Ce « travailler plus pour perdre moins », sera piloté par les directrices-eurs à qui l’on demandera de « manager » la mise en œuvre de ce « Pacte », ce qui contribuera à les mettre encore un peu plus en difficulté face à leurs équipes et qui augmentera encore leur charge de travail. Les « briques » proposées aux enseignants ne seront en outre pas intégrées dans le calcul des retraites des enseignants.
Ce que propose le ministre est à l’opposé de véritables augmentations de salaires qui
doivent passer par une augmentation des grilles indiciaires et augmentation du point d’indice.
Aucune contrepartie ne doit être exigée, car nous travaillons déjà bien assez, et que notre travail invisible n’est absolument pas reconnu ! Le budget prévu pour financer le pacte doit être
immédiatement reversé sans conditions à tous.te.s, et un plan de rattrapage doit être engagé !
Rappelons que rattraper les 25% de pouvoir d’achat perdus depuis 2000 coûterait 50 milliards
d’euros, alors que 413 milliards d’euros de la prochaine loi de programmation militaire viennent
d’être votés au parlement. En outre, par la contractualisation, l’annualisation, le pilotage qui renforcent les pressions sur les personnels, la création de nouvelles hiérarchies intermédiaires, le pacte a pour objectif de détruire le statut et de diviser les collègues.

Motion à faire connaître aux écoles du secteur et à renvoyer au SNUDI-FO (snudifo42@wanadoo.fr)

Interpeller les députés

Le 8 juin, l’Assemblée nationale pourra, pour la première fois, se prononcer par un vote portant sur la réforme des retraites. Il est encore temps d’interpeler les députés en leur envoyant un mail.

Mode d’emploi

DESTINATAIRES: Ce sont les députés du 42 seulement (copier/coller)

quentin.bataillon@assemblee-nationale.fr,antoine.vermorel-marques@assemblee-nationale.fr,andree.taurinya@assemblee-nationale.fr,Dino.Cinieri@assemblee-nationale.fr,jean-pierre.taite@assemblee-nationale.fr,emmanuel.mandon@assemblee-nationale.fr,

CORPS DE TEXTE: (Copier/coller ou personnaliser)

Madame la députée, monsieur le député,

Le gouvernement a décidé d’imposer la réforme des retraites via le 49-3. Ce texte unit contre lui l’ensemble des syndicats et 7 Français·es sur 10. Il revient à nous voler deux ans de vie. Pourtant, d’autres solutions de financement existent pour garantir des retraites de haut niveau, ce que le gouvernement a refusé d’examiner.
Depuis 4 mois, une mobilisation sociale d’une ampleur inédite, pacifique et responsable a lieu partout, notamment dans les villes petites et moyennes. Je vous demande de nous représenter et de soutenir la proposition de loi supprimant l’âge légal et l’allongement de la durée de cotisation.
Le 8 juin, l’Assemblée nationale pourra, pour la première fois, se prononcer par un vote portant sur la réforme des retraites. Je vous demande de voter favorablement sur ce texte afin de respecter la volonté de la population massivement exprimée depuis janvier.

Puis-je compter sur vous ?
Merci d’avance pour votre réponse.

 

 

 

CAISSE DE GREVE à COMPLETER

CAISSE DE GREVE 

MON RECAPITULATIF ANNEE SCOLAIRE 2022 2023

NOM PRENOM Date de naissance :

Je déclare sur l’honneur est à jour de ma cotisation SNUDIFO sur l’ensemble des dates énumérées ci dessous. Copier ce texte dans votre traitement de texte, compléter avec vos informations, transformer en PDF, et renvoyer avec vos fiches associées de paye en PDF sur ce lien

NOMBRE

Jours de grève auxquels j’ai participé

Visible sur la fiche de paye du mois de
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04/07/2023 Communiqué intersyndical Loire

Participons massivement aux manifestations Jeudi 13 avril :

 

St-Etienne : 10h30 Gare de Chateaucreux, manifestation jusqu’à la place de l’hôtel de ville

 

Roanne : 10h00 av. de la libération, le Coteau (vers la caisse d’épargne), manifestation jusqu’à la place des Promenades

Savez-vous quelle réserve de rage vous venez de libérer ? Nicolas Mathieu

Dans un texte pour Mediapart, l’écrivain Nicolas Mathieu (auteur des excellents romans sociaux Leurs enfants après euxConnemara… s’adresse à Emmanuel Macron et à son gouvernement :
            Aujourd’hui, à l’issue de cet épisode lamentable de la réforme des retraites, que reste-t-il d’Emmanuel Macron, de ce pouvoir si singulier, sorti de nulle part, fabriqué à la hâte, « task force » en mission libérale qui a su jouer du rejet de l’extrême droite et de la déconfiture des forces anciennes pour « implémenter » son « projet » dans un pays où si peu de citoyens en veulent ? Que reste-t-il de ce pouvoir, de son droit à exercer sa force, à faire valoir ses décisions, que reste-t-il de sa légitimité ?
Bien sûr, au printemps dernier, des élections ont eu lieu, des scrutins ont porté un président à l’Élysée, des députés à l’Assemblée, une première ministre a été nommée, un gouvernement mis en place. Tout cela a été accompli dans le respect de la loi. Les institutions ont fait leur lourd travail de tri, d’établissement, et assis sur leurs trônes ces maîtres d’une saison.
Bien sûr la République est toujours là, avec ses ors, son ordre vertical, sa police, son droit, ce roi bizarre à son sommet, une Constitution qui exécute ses caprices, des fondations qui plongent dans deux siècles et demi de désordres et de guerres civiles. La machine tourne, légale, indiscutable aux yeux des juristes, chaque rouage à sa place, placide sous le drapeau.
Mais la légitimité, elle, n’est pas d’un bloc.
Elle se mesure, se compare, se soupèse. Que dire d’un président élu deux fois mais sans peuple véritable pour soutenir sa politique de managers, de faiseurs de fric et de retraités distraits, son régime de cadres sup et de consultants surpayés, un président élu deux fois avec les voix de ses adversaires, qui l’ont moins soutenu qu’utilisé pour faire obstacle au pire, un président qui n’a même pas eu droit à un quart d’heure d’état de grâce en 2022 ?
Que dire d’une Assemblée sans majorité, arrivée un mois plus tard et qui dit à elle seule, par ses bigarrures, toute la défiance d’un pays, le refus large, immédiat, d’un programme, et des lemmings présidentiels qui s’étaient largement illustrés pendant cinq ans par leur suivisme zombique et un amateurisme qui aura été la seule vraie disruption de leur mandat ?
Que dire d’un gouvernement qui porte des réformes auxquelles il croit à peine, qu’il fait passer au forceps du 49-3, qui cafouille et s’embourbe, infoutu de discipliner ses troupes, incapable d’agréger les alliés qui lui manquent ?
Ce pouvoir est légitime comme la terre est plate, c’est-à-dire relativement à la place d’où on le regarde. Il est légitime comme je suis zapatiste, c’est-à-dire fort peu.
Que dire de ce pouvoir assis sur une noisette d’assentiment et qui gouverne comme après un plébiscite, méprise les corps intermédiaires, la rue, les salariés, l’hôpital, l’école, reçoit en pleine crise sociale Jeff Bezos pour le médailler alors qu’il n’aura pas daigné entendre ceux qui l’ont porté là ?
Ce pouvoir, qui ne peut considérer le bien commun qu’au prisme de la performance collective, qui a substitué les nombres aux vies, qui confond dans sa langue de comité exécutif le haut, le bas, la droite, la gauche, le prochain, le lointain, qui ment sans honte et croit tout surmonter en « assumant », ce pouvoir est légitime comme la terre est plate, c’est-à-dire relativement à la place d’où on le regarde. Il est légitime comme je suis zapatiste, c’est-à-dire fort peu. Il est légitime comme Nixon après le Watergate, c’est-à-dire de moins en moins. Il est légitime mécaniquement, en vertu des textes et de la solidité de nos institutions, mais il a perdu ce qui donne vie à la vraie légitimité politique en démocratie : un certain degré d’adhésion populaire.
Et ce dernier passage en force, ce 49-3 qui était prétendument exclu, s’il ne l’empêche pas de demeurer en place et de mener ses politiques, achève de le discréditer tout à fait.
De ce pouvoir, nous n’attendons désormais plus rien. Ni grandeur, ni considération, et surtout pas qu’il nous autorise à espérer un avenir admissible. Nous le laissons à ses chiffres, sa maladresse et son autosatisfaction. Plus un décret, une loi, une promesse ne nous parviendra sans susciter un haussement d’épaules. Ses grandes phrases, ses coups de menton, nous n’y prendrons plus garde. Ce pouvoir, nous le laissons à ses amis qu’il sert si bien. Nous lui abandonnons ses leviers, qu’il s’amuse. Son prestige n’est plus et nous avons toute l’histoire pour lui faire honte.
Pourtant, malgré la consternation que nous inspire la situation actuelle, on rêve d’attraper par le bras un député ou une sénatrice, un directeur de cabinet ou une ministre, pour lui demander, dans un couloir, dans un murmure, un regard :
« Vous rendez-vous compte ? Êtes-vous seulement conscients de ce que vous avez fait ?
Savez-vous quelle réserve de rage vous venez de libérer ?
Avez vous pensé à ces corps pliés, tordus, suremployés, qui trimeront par votre faute jusqu’à la maladie, jusqu’à crever peut-être ? Avez-vous pensé au boulevard que vous avez ouvert devant ceux qui prospèrent sur le dépit, la colère, le ressentiment ?
Avez-vous songé à 2027 et aux fins de mois dans les petites villes, les quartiers, aux électeurs hors d’eux et aux amertumes meurtrières, au plein d’essence et à la difficulté d’offrir des vacances à ses gosses, à ces gens si mal soignés, à ces enfants qui ne seront ni médecins ni avocats parce qu’en première ils n’ont pas pris la bonne option ?
Savez-vous qu’ils vont mourir un peu plus et de votre main et qu’ailleurs, l’argent coule à ne plus savoir qu’en faire ?
Ces femmes dans les hôtels qui récurent les chiottes et font les lits, ces ouvriers en trois-huit, ces conducteurs en horaires décalés, les routiers, les infirmières, les assistantes maternelles, celles et ceux qui font classe à des enfants de 3, 4 ou 5 ans, les petites mains dans les papeteries, les employées dans leurs open spaces, stressées jusqu’à la moelle, déclassées par chaque nouvelle génération qui sait mieux le numérique et la vitesse, les hommes qui mourront tôt et leurs veuves, ces copains aux yeux lourds qui trinquent au bistrot après douze heures de taf, en bleu de travail, de la peinture ou du cambouis sur les pognes, et les femmes qui prennent le plus cher, une fois encore, parce que mères, parce que femmes, ces milliers de gens qui font des cartons dans les entrepôts Amazon, y avez-vous pensé ?
Avez-vous vu que, comme vous, ils n’ont qu’une vie, et que leurs heures ne sont pas seulement les données ajustables d’un calcul qui satisfait votre goût des équilibres et les exigences arithmétiques des marchés ? Savez-vous qu’ils vont mourir un peu plus et de votre main et qu’ailleurs, l’argent coule à ne plus savoir qu’en faire ? Avez-vous pensé à ce monde sur lequel vous régnez et qui n’en pouvait déjà plus d’être continuellement rationné, réduit dans ses joies, contenu dans ses possibilités, contraint dans son temps, privé de sa force et brimé dans ses espérances ?
Non, vous n’y avez pas pensé. Eh bien ce monde-là est une nappe d’essence et vous n’êtes que des enfants avec une boîte d’allumettes. »
Nicolas Mathieu

Pour le retrait de la réforme et le respect de la démocratie, tous en grève !

L’utilisation de l’article 49-3 par ce gouvernement ultra-minoritaire est un véritable déni de démocratie mais aussi un aveu de faiblesse. 4000 jeunes et salariés se sont rassemblés jeudi 16 mars au soir à Lyon devant la Préfecture suite à cette annonce scandaleuse. Alors que 93% des salariés rejettent cette réforme, la grève se poursuit dans de nombreux secteurs.

Le SNUDI-FO appelle les collègues à se réunir dans leurs écoles et à décider la grève, en particulier jeudi 23 mars, à l’appel de l’intersyndicale toujours unie pour le retrait de la réforme !

Vous trouverez ci-dessous une déclaration d’intention de grève pour les prochains jours (pour la grève jeudi 23 mars, la déclaration d’intention de grève doit être envoyée au plus tard lundi 20 mars à minuit)

declaration_d_intention_de_greve

Lire aussi la déclaration de l’intersyndicale suite à l’utilisation de l’article 49-3 par le gouvernement :

et le communiqué de presse FO :

proposition mot aux parents greve reconductible

Chers parents d’élèves,

 

La totalité des organisations syndicales du pays appellent à mettre la France à l’arrêt dès le 7 mars pour le retrait de la réforme des retraites, le gouvernement étant resté sourd aux cinq premières journées de grève et de manifestations massives.

L’écrasante majorité des salariés et de la population reste toujours aussi fermement opposé à ce projet.

Les enseignants et AESH répondent à l’appel des organisations syndicales et seront en grève ce mardi 7 mars.

Tout comme tous les salariés, tout comme vous, nous sommes concernés par cette contre-réforme, par le report de l’âge légal de départ, par l’allongement de la durée de cotisation et par la remise en cause des régimes existants !

Nous n’imaginons pas pour notre part enseigner à vos enfants ou les accompagner jusqu’à 64 ans ! Le système de retraite par répartition n’est pas en danger, rien de justifie une réforme aussi brutale !

Tout cela alors que nos conditions de travail et que les conditions d’apprentissage des élèves se dégradent continuellement du fait des suppressions de postes, du manque de remplaçants, du manque d’enseignants spécialisés et des réformes néfastes du ministre. Tout cela alors que, comme les autres salariés, comme vous, notre pouvoir d’achat s’effondre du fait de l’inflation et du blocage des salaires !

Nous serons donc en grève dès le mardi 7 mars !

 

Nous vous remercions de votre compréhension et espérons vous retrouver dans la manifestation prévue à Saint Etienne depuis le rond-point à 10h30 direction hôtel de ville

 

 

DECLARATION D INTENTION DE GREVE

DÉCLARATION D’INTENTION DE GRÈVE

Réf. : loi n° 2008-790 du 20 août 2008

Circulaire n° 2008-111 du 26 août 2008

Je soussigné(e),

NOM :

NOM de Jeune Fille :

Prénom :

Exerçant, des fonctions d’enseignement à l’école :

  • Maternelle publique :
  • Elémentaire publique :
  • Primaire publique : ………………………………………………………….

Commune de :

Circonscription de :

Déclare mon l’intention de participer à la grève du 

Fait à ……………………………………, le ……… / ……… / ……….

Signature (obligatoire)

A transmettre à l’IEN de votre circonscription :

  • en main propre
  • par courrier électronique 

Pour rappel : selon la Loi n°2008- 790 du 20 août 2008 la déclaration d’intention n’oblige en rien se mettre effectivement en grève.

DATE DE LA GRÈVE

DATE ULTIMES DE RÉCEPTION

DE LA DÉCLARATIONS D’INTENTION

Lundi Jeudi minuit
Mardi Samedi minuit
Jeudi Lundi minuit
Vendredi Mardi minuit

Prévoir les délais d’acheminement en cas d’envoi par courrier.

lutte contre la réforme des retraites : actions du 16 février et préparation de la grève à partir du 7 mars

Poursuite de la mobilisation !

Dans la Loire jeudi 16 février :

Manifestation à Saint-Etienne : 10h30 départ de la bourse du travail, cours Victor Hugo, puis descente Place de l’Hôtel de Ville avant de repartir jusqu’au Puits Courriot.

Manifestation à Roanne : 10h00 départ du centre hospitalier jusqu’à l’Hôtel de ville

Retraite aux flambeaux à Montbrison : 18h départ de la sous-préfecture

 

 

Mail aux parents greves JANVIER

Chers parents d’élèves,

 

Les enseignants et AESH de l’école seront en grève, une nouvelle fois, dès mardi 31 janvier pour le retrait de la réforme des retraites annoncée par la première ministre à l’appel de la totalité des organisations syndicales du pays (FO, CGT, CFDT, UNSA, Solidaires, FSU, CFTC, CFE-CGC).

 

Tout comme tous les salariés, tout comme vous, nous sommes concernés par cette contre-réforme, par le report de l’âge légal de départ et par l’allongement de la durée de cotisation !

 

Nous n’imaginons pas pour notre part enseigner à vos enfants ou les accompagner jusqu’à 64 ans… et nous faisons partie de ces 80% de la population qui, dans un récent sondage, indiquent être opposés à la retraite à 64 ans !

 

Le système de retraite par répartition n’est pas en danger, rien de justifie une réforme aussi brutale !

 

Tout cela alors que nos conditions de travail et que les conditions d’apprentissage des élèves se dégradent continuellement du fait des suppressions de postes, du manque de remplaçants, du manque d’enseignants spécialisés et des réformes néfastes du ministre. Tout cela alors que, comme les autres salariés, comme vous, notre pouvoir d’achat s’effondre du fait de l’inflation et du blocage des salaires !

 

Trop c’est trop !

 

Nous serons donc en grève, une nouvelle fois, dès le mardi 31 janvier !

 

Nous vous invitons vous aussi à vous mettre en grève dès ce jour-là et à nous rejoindre dans la manifestation prévue à …………………

 

 

DECLARATION D’INTENTION DE GREVE

declaration_d_intention_de_greve-3-6_3_-2 ( cliquer pour télécharger au format word)

DÉCLARATION D’INTENTION DE GRÈVE

Réf. : loi n° 2008-790 du 20 août 2008

circulaire n° 2008-111 du 26 août 2008

Je soussigné(e),

NOM :

NOM de Jeune Fille :

Prénom :

Exerçant, le jour de la grève, des fonctions d’enseignement à l’école :

  • Maternelle publique :
  • Elémentaire publique :
  • Primaire publique : ………………………………………………………….

Commune de :

Circonscription de :

Déclare mon l’intention de participer à la grève du

Mardi 31 janvier

Mercredi 1er février (si semaine à 4,5 jours)

Jeudi 2 février

Vendredi 3 février

Fait à ……………………………………, le ……… / ……… / ………..

Signature (obligatoire)

A transmettre à l’IEN de votre circonscription :

  • par voie postale
  • par télécopie ;
  • par courrier électronique ;

DATE DE LA GRÈVE

DATE ULTIMES DE RÉCEPTION

DE LA DÉCLARATIONS D’INTENTION

Lundi Jeudi minuit
Mardi Samedi minuit
Jeudi Lundi minuit
Vendredi Mardi minuit

Prévoir les délais d’acheminement en cas d’envoi par courrier.

Lettre de Clément Poullet à la FSU

Chers camarades,

Au lendemain des élections professionnelles, les camarades de la FSU nous proposent d’appeler les personnels de l’éducation à la grève le 17 janvier.

La proposition est assortie du commentaire suivant :

« Nous n’avons pas vraiment d’éclaircissements sur le calendrier retraites, à ceci près qu’il semble se dessiner un premier temps fort qui pourrait avoir lieu autour du 11 janvier, date du conseil des ministres. Cela confirme donc pour nous l’ouverture d’un espace pour un appel à une grève éduc la semaine suivante, le 17 janvier. Nous ne méconnaissons pas le risque que les collègues choisissent l’une ou l’autre de ces dates, mais nous pensons que la manière dont les discussions s’engagent sur les salaires en particulier ainsi que la question de la réforme de la voie pro, nécessite que nous assurions une visibilité forte aux revendications spécifiques éduc. »

En effet, chacun sait que l’intersyndicale (FO, CGT, CFDT, CFTC, CFE-CGC, avec l’Unsa, Solidaires, la FSU et les organisations de jeunesse) a adopté le principe d’une date de mobilisation interprofessionnelle avec grèves et manifestation en janvier, si le gouvernement s’entête à vouloir reculer de l’âge de départ en retraite et augmenter la durée de cotisation. Les Confédérations se réunissent le 15 décembre pour préparer la riposte.

Dès lors, appeler à une journée de grève « éducation » le 17 janvier, c’est prendre le risque, comme le dit la FSU, que les collègues choisissent l’une ou l’autre de ces dates », et donc d’affaiblir la mobilisation interprofessionnelle, que nous souhaitons la plus large possible pour faire reculer le gouvernement sur son projet.

Force Ouvrière ne participera pas à la stratégie de la défaite et de la division. Nous considérons que nous pouvons faire reculer Macron et son gouvernement sur la réforme des retraites, par l’action commune, comme en 2019-2020, et que cela sera un point d’appui pour la satisfaction de l’ensemble des revendications : pour de vraies augmentations de salaires dans la Fonction publique, a minima à hauteur de l’inflation, contre le pacte « Ndiaye » conduisant à individualiser les rémunérations et à faire travailler plus pour perdre moins, pour les créations de postes nécessaires, pour l’arrêt des contre-réformes (dont celle des lycées professionnels), pour la défense de nos retraites.

Nous restons disponibles pour organiser avec vos fédérations la grève interprofessionnelle et faire en sorte que les personnels de l’Education nationale y prennent part largement.

Recevez chers camarades nos salutations syndicalistes.

Clément Poullet, pour la FNEC FP-FO

 

Questionnaire à destination des professeurs des écoles – Evals d’écoles

Questionnaire à destination des professeurs des écoles

 

Dans le cadre de l’auto-évaluation de notre école, nous proposons un questionnaire à votre attention pour recueillir votre point de vue sur différents aspects du fonctionnement de l’école. L’analyse des réponses contribuera à identifier les points forts de l’école et ses éventuelles marges de progrès en vue de proposer des pistes d’amélioration pour la réussite éducative des élèves et la qualité de vie de tous.

Les informations collectées sont strictement anonymes.

  1. Votre regard sur le fonctionnement de l’école

Dans cette partie, nous nous intéressons aux pratiques collaboratives ou collégiales ayant cours dans l’école.

 

A.1. Les collaborations sur le plan pédagogique et éducatif

 

Quel est le niveau / Quels sont les niveaux de classe où vous enseignez ?

Combien d’élèves compte votre classe ?                      élèves

 

Avec quelle fréquence les situations suivantes se sont-elles produites ?

 

        Les jugez-vous

souhaitables ?

  Jamais ou presque jamais Chaque mois ou presque au cours des 12 derniers mois Au moins une fois par semaine de l’année scolaire Oui Non
Échanger avec les collègues sur des objectifs pédagogiques communs          
Concevoir avec les collègues des outils communs (séances, séquences, évaluations, etc.)          
Échanger entre collègues pour fixer des objectifs ou méthodes communs, par niveau ou cycle ou en inter-cycles          
Mettre en place des échanges de service  

 

       
Mettre en place des séances de co-intervention (avec un collègue enseignant ou un personnel RASED)          
Échanger avec l’ATSEM sur les enjeux pédagogiques et didactiques des activités qu’il encadre          
Échanger avec l’AESH sur les enjeux pédagogiques des activités proposées en classe aux l’élèves qu’il accompagne          
Échanger avec le Service Civique sur les enjeux pédagogiques des activités proposées en classe          
Mettre en place des projets avec des intervenants extérieurs à l’école          
Mettre en place des actions avec les parents  

 

       
Mettre en place des actions pour les parents  

 

       
Donnez des exemples pour illustrer certains des points ci-dessus

 

 

 

 

 

A2. L’inclusion et la prise en compte de la diversité des besoins des élèves

 

A2.1a Quels sont les besoins prioritaires de vos élèves en général (Français, expression écrite, expression orale, mathématiques, etc.) ?
 

 

 

 

A2.1b. Y a-t-il dans votre classe :

 

  Oui* Non
Des élèves ayant des besoins éducatifs particuliers ?    
Des élèves allophones ?    
Des élèves en situation de handicap ?    
Des AESH ?    

 

* préciser le nombre d’élèves concernés

 

A2.2a. Au cours de cette année scolaire, à quelle fréquence les méthodes suivantes sont-elles mises en œuvre dans votre classe ?

 

          Les jugez-vous

souhaitables ?

  Jamais ou

presque jamais

   Parfois    Souvent À chaque séance

ou presque

 

Oui

 

Non

Mettre en œuvre des procédures variées de différenciation pédagogique pour les élèves ayant des besoins particuliers (des difficultés, une avance sur les apprentissages, etc.)            
Développer des réponses pédagogiques collectives adaptées aux élèves à besoins particuliers            

 

A2.2b. Au cours de cette année scolaire, à quelle fréquence les procédures suivantes de différenciation pédagogique sont-elles mises en œuvre ?

 

  Jamais ou presque jamais Parfois Souvent À chaque séance ou presque
Varier la quantité de travail de l’élève        
Diversifier les consignes        
Varier les supports d’apprentissage proposés        
Proposer des outils d’aide à l’autonomie des élèves        
Proposer un étayage individuel et spécifique        
Proposer un tutorat par un autre élève        
Différencier l’évaluation (qu’elle soit diagnostique, formative, sommative)        
Proposer du temps d’activité en plus à certains élèves        

 

A2.3. Est-ce que mettre en œuvre ces procédures de différenciation perturbe le reste de la classe ?

 

  • Non, pas du tout
  • Non, pas vraiment
  • Oui, un peu
  • Oui, tout à fait

 

A2.4. Avez-vous l’impression que les aides que vous apportez aux élèves à besoins particuliers sont suffisantes pour accompagner ces élèves ?

 

  • Non, pas du tout
  • Non, pas vraiment
  • Oui, plutôt
  • Oui, tout à fait

 

A2.5. Selon vous, quel autre dispositif d’accompagnement devrait être mis en place ?

 

A3. L’utilisation du numérique

 

A3.1. Au cours de cette année scolaire, à quelle fréquence les modalités suivantes d’utilisation du numérique sont-elles mises en œuvre ?

 

  Jamais ou

presque jamais

Parfois Souvent À chaque séance

ou presque

Exemples d’outils utilisés
Utilisation par le professeur des technologies de l’information et de la

communication (TIC) pendant la classe

         
Utilisation par les élèves des TIC dans leurs activités en classe          
Utilisation par les élèves des TIC dans leurs activités scolaires à la maison          

 

A3.2. Le matériel informatique disponible au sein de l’école répond-il à vos besoins ?

 

  • Non, pas du tout
  • Non, pas vraiment
  • Oui, plutôt
  • Oui, tout à fait

 

 

A3.3. Vos commentaires concernant l’équipement informatique de l’école

 

 

 

A3.4. Comment l’école pourrait-elle améliorer son environnement informatique ? Plusieurs réponses sont possibles.

 

  • Introduire ou augmenter le nombre de dispositifs de projection dans les salles de classe
  • Augmenter le nombre d’ordinateurs dans l’école
  • Créer une salle informatique
  • Veuillez préciser :

 

A4. L’organisation de l’école

 

Au cours de ces 5 dernières années, à quelle fréquence ces situations se sont-elles produites ?

 

        Les jugez-vous

souhaitables ?

  Jamais Chaque année Au moins une  fois depuis votre arrivée dans l’école  

Oui

 

Non

Porter un dossier ou un projet collectif concernant l’école par délégation du directeur          
Changer de niveau(x) de classe          
Donnez des exemples pour illustrer certains des points ci-dessus :

 

 

 

Que pensez-vous de l’organisation de l’école pour un fonctionnement en situation de crise (épidémie, aléa climatique, attentat, etc.) en termes d’entraînement et simulation ainsi que de continuité pédagogique ?

  1. Votre regard sur l’école dans son territoire

 

 

B.1 / Comment identifiez-vous le rôle de ces différentes entités et structures qui interviennent sur le territoire de votre école ?

 

  Difficilement Assez bien Bien Très bien
L’IEN et l’équipe de circonscription        
Le RASED        
Le pôle Ressources de circonscription        
Le PIAL        
La collectivité territoriale dont dépend l’école        
Les services de la DSDEN        
Le conseil école-collège        

 

B.2a / Pour chacune des dimensions suivantes, quelle est votre appréciation des relations de l’école avec l’inspecteur de circonscription et son équipe, sur une échelle de 1 (faible) à 5 (élevée) ?

 

Fréquence  
Intérêt pour l’école  

 

B.2b / Avez-vous des suggestions à formuler pour améliorer l’efficacité de ces relations ?

 

 

 

 

B.3a / Pour chacune des dimensions suivantes, quelle est votre appréciation des collaborations avec le RASED sur une échelle de 1 (faible) à 5 (élevée) ?

 

Fréquence  
Qualité de la réponse apportée aux besoins des élèves selon vous  
Qualité de la réponse apportée aux besoins des élèves pour l’école  
Qualité de la réponse apportée aux besoins des élèves pour eux-mêmes  

 

B.3b / Avez-vous des suggestions à formuler pour améliorer l’efficacité de ces relations ?

 

 

 

B.4a / Pour chacune des dimensions suivantes, quelle est votre appréciation des collaborations avec le pôle ressources de circonscription sur une échelle de 1 (faible) à 5 (élevée) ?

 

Fréquence  
Qualité de la réponse apportée aux besoins des élèves selon vous  
Qualité de la réponse apportée aux besoins des élèves pour l’école  
Qualité de la réponse apportée aux besoins des élèves pour eux-mêmes  

 

 

B.4b / Avez-vous des suggestions à formuler pour améliorer l’efficacité de ces relations ?

 

 

 

B.5a / Pour chacune des dimensions suivantes, quelle est votre appréciation des collaborations avec le PIAL sur une échelle de 1 (faible) à 5 (élevée) ?

 

Fréquence  
Qualité de la réponse apportée aux besoins des élèves pour vous  
Qualité de la réponse apportée aux besoins des élèves pour l’école  
Qualité de la réponse apportée aux besoins des élèves pour eux-mêmes  

 

B.5b / Avez-vous des suggestions à formuler pour améliorer l’efficacité de ces relations ?

 

 

 

B.6a / Pour chacune des dimensions suivantes, quelle est votre appréciation des relations que l’école entretient avec la collectivité territoriale dont elle dépend (commune, SIVOS, etc.) sur une échelle de 1 (faible) à 5 (élevée) ?

 

Fréquence  
Intérêt pour l’école  

 

 

 

B.6b / Avez-vous des suggestions à formuler pour améliorer l’efficacité de ces relations ?

 

 

 

 

B.7a / Pour chacune des dimensions suivantes, quelle est votre appréciation des relations que l’école entretient avec les services de la DSDEN sur une échelle de 1 (faible) à 5 (élevée) ?

 

Fréquence  
Intérêt pour l’école  

 

 

B.7b / Avez-vous des suggestions à formuler pour améliorer l’efficacité de ces relations ?

 

 

 

 

B.8 / Au cours de ces 5 dernières années, à quelle fréquence ces situations se sont-elles produites ?

 

        Les jugez-vous souhaitables ?
  Jamais Chaque année Au moins une fois depuis votre arrivée dans l’école Oui Non
Travailler avec des professeurs des écoles voisines (même commune / communes voisines hors R.P.I / école du réseau d’éducation prioritaire)          
Mettre en place des projets avec d’autres écoles          
Participer à un conseil école-collège          
Participer à un conseil de cycle 3 incluant des professeurs de 6ème          
Mettre en place des projets avec le collège          
           
Donnez des exemples pour illustrer certains des points ci-dessous :

 

 

 

 

 

 

 

  1. Votre regard sur votre pratique

 

C1. Parmi les propositions suivantes, indiquez votre point de vue quant à l’impact possible sur la réussite des élèves :

 

 

Impact sur la réussite des élèves Impact négatif

fort

Impact négatif

faible

Pas d’impact Impact positif

faible

Impact positif

fort

Explicitation aux parents des attendus en termes d’apprentissages et de méthodes          
Explicitation aux élèves des attendus en termes d’apprentissages et de méthodes          
Différenciation de l’enseignement pour tenir compte de la diversité des élèves          
Mise en place d’une politique d’école en matière de climat scolaire          
Mise en place d’une politique d’école dans les domaines pédagogique et didactique          
Accroissement de l’autonomie de l’école          

 

C2. Parmi les propositions suivantes, indiquez votre point de vue quant à l’impact possible sur la qualité de vie au travail des enseignants :

 

Impact sur la réussite des élèves Impact négatif

fort

Impact négatif

faible

Pas d’impact Impact positif

faible

Impact positif

fort

Explicitation aux parents des attendus en termes d’apprentissages et de méthodes          
Explicitation aux élèves des attendus en termes d’apprentissages et de méthodes          
Différenciation de l’enseignement pour tenir compte de la diversité des élèves          
Mise en place d’une politique d’école en matière de climat scolaire          
Mise en place d’une politique d’école dans les domaines pédagogique et didactique          
Accroissement de l’autonomie de l’école          

 

C3. Pour chacune des dimensions suivantes, indiquez si elle vous semble prendre aujourd’hui une grande place dans l’exercice du métier de professeur et dans ce cas si c’est un élément négatif, neutre ou positif pour votre exercice de ce métier et le plaisir que vous y trouvez.

 

  Dans votre exercice actuel du métier de professeur, cette  dimension vous semble… Dans l’exercice de votre métier et le plaisir

que vous y trouvez, cette dimension est un  élément…

  Importante   Peu importante Positif Neutre Négatif
La préparation des enseignements          
La veille disciplinaire, pédagogique et didactique ;

l’autoformation

         
La formation continue          
La souplesse d’organisation des 108 h          
L’acte d’enseignement dans la classe dans sa dimension

de construction de connaissances et compétences

         
La prise en compte des besoins spécifiques des élèves          
La transmission des valeurs de la République          
Le maintien, en classe, d’un climat scolaire propice aux

apprentissages

         
La participation à une politique d’école          
L’évaluation des élèves          
La correction des cahiers et évaluations          
La dimension collective, les pratiques coopératives          
L’accompagnement personnalisé des élèves          

 

 

Ce questionnaire est maintenant terminé. Nous vous remercions pour votre participation.

Pourquoi et comment dire non aux évaluations d’école ?

De nombreux collègues nous interpellent :

« Notre école doit être évaluée. On aimerait éviter ça. Est-ce que c’est obligatoire ? »

La réponse est non !

En effet, il n’existe aucun décret d’application et donc, même si notre hiérarchie soutient le contraire, les évaluations d’école ne sont pas obligatoires.

D’ailleurs, dans d’autres départements, des DASEN ont déjà confirmé que les évaluations d’école ne sont pas obligatoires.

 

Est-ce qu’elles entraînent une surcharge de travail ? Oui !

Au sujet des temps d’échange proposés : ils n’ont aucun caractère obligatoire et vous n’aurez d’ailleurs ni convocation, ni ordre de mission !

Est-ce qu’elles répondront à nos attentes ? Non !

Mais alors pourquoi ces évaluations ?

Pour se faire une petite idée, voici des extraits des questionnaires proposés.

Extraits du questionnaire « élève » :

Coche la case pour indiquer si tu te sens très en confiance / un peu en confiance / pas vraiment en confiance / pas du tout en confiance avec :

  Très en confiance Un peu en confiance Pas vraiment en confiance Pas du tout en confiance
Le directeur ou la directrice de l’école o o o o
Ton maître ou ta maîtresse o o o o
Les maîtres ou les maîtresses des autres classes o o o o

 

En ce qui concerne le temps de classe, es-tu tout à fait d’accord / plutôt d’accord / pas vraiment d’accord / pas du tout d’accord avec les phrases suivantes ?

  Tout à fait d’accord Plutôt d’accord Pas vraiment d’accord Pas du tout d’accord
Ton maître ou ta maîtresse apporte des réponses à tes difficultés o o o o

 

Extraits du questionnaire « parents » :

  très souvent souvent de temps en temps jamais je ne sais pas
Nous pensons que notre enfant s’intéresse aux activités qui lui sont proposées.          
En classe, notre enfant est aidé lorsqu’il ne comprend pas.          
L’enseignant de la classe nous a donné des informations sur sa manière de travailler.          
Notre enfant reçoit des indications qui le font progresser.          
Notre enfant a beaucoup de devoirs à la maison.          
Notre enfant se sent en confiance dans la classe.          

 

Conclusion ? Même si « Ils (ces questionnaires) ne revêtent aucun caractère obligatoire… », ces évaluations sont là uniquement pour contrôler le travail des enseignants ! Voire favoriser l’ingérence des pouvoirs politiques locaux et accélérer la destruction de l’école publique.

Notre hiérarchie s’en défend en argumentant qu’elles ont pour but de connaître nos préoccupations !

Les voilà nos préoccupations : avoir moins d’élèves dans les classes, des psychologues scolaires, des maîtres E, des AESH, des places en IME et ITEP, une revalorisation salariale sans conditions,… !

 

En résumé :

  • les évaluations d’école ne sont pas obligatoires ;
  • elles entraînent une surcharge de travail ;
  • elles ne répondent en rien à nos attentes ;
  • elles sont là uniquement pour contrôler le travail des enseignants ;
  • elles favorisent l’ingérence des pouvoirs politiques locaux ;
  • elles accélèrent la destruction de l’école publique.

 

Voilà d’excellentes raisons pour refuser les évaluations d’école.

Comment procéder ?

Se réunir en conseil des maîtres, voter une motion et l’envoyer au SNUDI FO.

Nous vous soutiendrons dans votre démarche et plus nous aurons de motions, plus nous aurons de poids pour faire respecter vos droits !

 

Exemple de motion d’école :

Ce (date), les enseignants de l’école (nom de l’école) réunis en conseil des maîtres ont voté la motion suivante : « Monsieur l’Inspecteur (ou Madame l’Inspectrice), nous ne sommes pas volontaires pour participer à l’évaluation de notre école. Respectueusement. »